Bonjour Olivier, Je viens de vous découvrir par le biais de psychologie magazine. La marche est la sele façon que nous avons de voler. Elle est irremplaçable. Elle seule permet de découvrir les paysages à hauteur d'homme, tout simplement.
Votre démarche est extraordinaire et poétique : laisser les noms de lieux décider d'un itinéraire, s'en remettre aux lois du hasard des mots au lieu de s'asservir aux itinéraires quotidiens dénués de sens, voilà qui me plaît énormément !
En lisant votre cheminement qui vous a fait arriver à ces drôles d'itinéraires, je me suis dit "tiens ... je ne suis donc pas seule à chercher, il se sent éclaté lui aussi, pile ce que je ressens aujourd'hui "...et ma quête moi je pense qu'elle passera parle vélo. Ca me taraude depuis un moment et petit à petit la guangue qui m'entoure se fissure, je me ménage des espaces... ouf! repsirer et les grands espaces je connais : hauts plateaux ardéchois dans le soleil ou la burle, la neige et la glace. Côtes landaises ou plages du nord, endroits où l'on se perd, ou rien ne limite et malgré tout j'aime aussi la montagne, les hautes cimes! alors peut-être que bientôt c'est moi qui vous raconterait ma petite aventure en vélo.. courage pour la suite et j'aime bien la phrase "there is a will, there is a way" on trouve toujours un passage.. tt comme la vôtre qui m'accompagne aussi "happyness is not the end, happyness is the road"
Celui qui marche est Olivier Lemire, 50 ans. Réalise son désir d'aventurier !
Rôle sur terre : réapprendre la vraie dimension du monde (infinie), réhabiliter l'intérêt de ce qui est proche.
Moyens utilisés : d'abord, la marche, qui induit une proximité nouvelle avec le paysage et les gens, et est porteuse de sens et synonyme d'économie de moyens. Ensuite, les toponymies des lieux, par le sens supplémentaire qu'elles apportent dans l'itinéraire.
Amoureux des grands espaces. Préfère ne pas savoir comment revenir.
Lieux de prédilection : la campagne française
Novembre 2008 : sortie d’un premier livre au cherche midi éditeur : celui qui marche. .
3 commentaires:
Bonjour Olivier,
Je viens de vous découvrir par le biais de psychologie magazine. La marche est la sele façon que nous avons de voler. Elle est irremplaçable. Elle seule permet de découvrir les paysages à hauteur d'homme, tout simplement.
Votre démarche est extraordinaire et poétique : laisser les noms de lieux décider d'un itinéraire, s'en remettre aux lois du hasard des mots au lieu de s'asservir aux itinéraires quotidiens dénués de sens, voilà qui me plaît énormément !
Bonne(s) route(s) !
Florence
Merci de vos encouragements, et bonne route...
Olivier
En lisant votre cheminement qui vous a fait arriver à ces drôles d'itinéraires, je me suis dit "tiens ... je ne suis donc pas seule à chercher, il se sent éclaté lui aussi, pile ce que je ressens aujourd'hui "...et ma quête moi je pense qu'elle passera parle vélo. Ca me taraude depuis un moment et petit à petit la guangue qui m'entoure se fissure, je me ménage des espaces... ouf! repsirer et les grands espaces je connais : hauts plateaux ardéchois dans le soleil ou la burle, la neige et la glace.
Côtes landaises ou plages du nord, endroits où l'on se perd, ou rien ne limite et malgré tout j'aime aussi la montagne, les hautes cimes!
alors peut-être que bientôt c'est moi qui vous raconterait ma petite aventure en vélo..
courage pour la suite et j'aime bien la phrase "there is a will, there is a way" on trouve toujours un passage.. tt comme la vôtre qui m'accompagne aussi "happyness is not the end, happyness is the road"
anne-marie
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